Vous vous demandez combien de temps dure le temps supplémentaire dans le foot féminin et quelles sont les règles associées ? Découvrez tout ce qu’il faut savoir sur les prolongations : deux périodes de 15 minutes, initiation du temps supplémentaire et les différences par rapport au football masculin. Plongez au cœur des règlements FIFA pour voir comment l’équité et le spectacle sont assurés sur le terrain.
Durée et règles du temps supplémentaire
Durée des prolongations
Dans le foot féminin, les prolongations consistent en deux périodes de 15 minutes chacune. Cette règle, conforme aux règlements de l’UEFA et de la FIFA, s’applique lorsque le score est toujours à égalité après le temps réglementaire. Les joueuses bénéficient ainsi d’une opportunité supplémentaire de marquer avant de recourir à une séance de tirs au but si nécessaire.
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Initiation du temps supplémentaire
Le temps supplémentaire est initié par l’arbitre principal, qui prend en compte divers facteurs tels que les arrêts de jeu pour blessures, les remplacements et les célébrations de buts. Pierluigi Collina, président du comité des arbitres de la FIFA, a insisté sur l’importance de compenser le temps perdu pour garantir l’équité du match.
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Différences avec le football masculin
Une différence notable avec le football masculin réside dans la gestion de la durée des prolongations. Bien que les hommes et les femmes jouent deux périodes de 15 minutes, les prolongations en foot féminin sont souvent plus intenses en raison des différences physiologiques et des stratégies d’équipe.
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Importance et gestion du temps additionnel
Importance pour l’équité et le spectacle
L’importance du temps additionnel en foot féminin ne peut être sous-estimée. Il permet de compenser le temps perdu dû aux remplacements, blessures et célébrations de buts. Cette gestion rigoureuse du temps additionnel garantit que chaque minute de jeu est exploitée, assurant ainsi l’équité et le spectacle pour les spectateurs.
Gestion par l’arbitre
L’arbitre joue un rôle crucial dans la gestion du temps supplémentaire. En s’appuyant sur les directives de la FIFA, il veille à ce que chaque interruption soit minutieusement comptabilisée. Pierluigi Collina, président du comité des arbitres de la FIFA, a souligné l’importance de cette précision pour maintenir l’intégrité du match.
Règles de calcul du temps supplémentaire
Le calcul du temps additionnel suit des règles strictes. Chaque arrêt de jeu, qu’il s’agisse d’une faute, d’une consultation du VAR, ou d’une célébration, est pris en compte. Cette méthodologie assure que le temps de jeu effectif se rapproche le plus possible des 90 minutes réglementaires, respectant ainsi les attentes des joueuses et des spectateurs.
Exemples et stratégies notables
Exemples de matchs notables
Lors de la finale de la Ligue des Champions féminine 2021 entre Barcelone et Chelsea, le temps supplémentaire a joué un rôle crucial. Les prolongations ont permis à Barcelone de maintenir leur pression offensive, menant finalement à une victoire 4-0. Un autre exemple marquant est la demi-finale de la Coupe du Monde féminine 2019 entre les États-Unis et l’Angleterre, où le temps additionnel a été décisif pour gérer les remplacements et les blessures.
Stratégies de jeu pendant les prolongations
Pendant les prolongations, les équipes doivent ajuster leurs stratégies. Les entraîneurs utilisent souvent des substitutions tactiques pour introduire des joueuses fraîches capables de changer la dynamique du match. Les fautes stratégiques peuvent également être utilisées pour ralentir le jeu adverse et gagner du temps précieux.
Impact des substitutions et fautes
Les substitutions et les fautes ont un impact significatif sur le temps additionnel. Chaque remplacement et chaque faute entraînent un arrêt de jeu, ce qui est minutieusement comptabilisé par l’arbitre. Cette gestion rigoureuse assure que le temps perdu est compensé, garantissant ainsi l’équité et l’intégrité du match.